
Le Centre national de la sclérose en plaques vise à fournir des soins complets et sûrs à chaque patient, ce qui nécessite parfois un compromis difficile entre l'autonomie et la sécurité du patient. C'est pourquoi les mesures coercitives ne sont utilisées qu'en dernier recours, comme la solution la moins mauvaise à une situation par ailleurs dangereuse. Cela signifie que la sécurité du patient et/ou d'autres personnes est menacée et ne peut être garantie d'aucune autre manière.
Ainsi, des solutions spécifiques telles que la surveillance surélevée, le lit en position basse et le port de protections pour les hanches sont appliquées dans un premier temps. Une stimulation cognitive et sensorielle adéquate est assurée par la mise à disposition d'un journal, d'une horloge, d'un calendrier et l'attention portée à l'utilisation correcte des lunettes et des appareils auditifs. En outre, nous nous efforçons de prodiguer des soins personnalisés, ce qui crée un climat de confiance avec le patient et autour de lui.
Si, malgré ces efforts, l'intégrité physique ou psychologique du patient ou d'autres personnes est compromise ou s'il existe un risque d'interruption d'une thérapie vitale, des mesures coercitives peuvent être utilisées.
Le recours à des mesures de restriction de la liberté se fait toujours en concertation avec le médecin et est organisé de la manière la plus brève et la plus confortable possible pour le patient. Une surveillance accrue est assurée pendant ces mesures, de sorte qu'une attention particulière est accordée aux besoins fondamentaux du patient et que l'on s'efforce de le guider et de le soutenir.
Par exemple, la contrainte physique peut être utilisée si nécessaire. Il s'agit de "toute action ou utilisation de matériel qui restreint la liberté de mouvement et ne peut être facilement enlevé". Les barrières de lit en sont un exemple.
Het gebruik van afzondering of isolatie (er zijn geen isolatiekamers) en dwangmedicatie (het toedienen van medicatie tegen de zin van de patiënt om therapeutische redenen) komt niet voor in het NMSC.
Le prestataire de soins qui met en œuvre des mesures coercitives doit toujours être en mesure de le justifier auprès du patient, de sa famille et des autres prestataires de soins. La nécessité des mesures coercitives doit être évaluée en permanence tout au long de leur application.